Il était une fois, une secrete libertine, prénommée Hubertine (ou la rétrospective des premières fois).

Elle avait appris à connaître son corps, à se connecter à ses envies charnelles et à développer son imaginaire sensuel au travers de la masturbation.

Elle avez aussi déjà gouté au mélangisme, à la sodomie, bien avant d’être officiellement libertine.

Sa rencontre avec son homme, David, marqua le début de sa vie libertine. Curieuse, joueuse et ouverte Hubertine était. Ce fut donc tout naturellement qu’elle serra la main de David et qu’ils poussèrent ensemble les portes des soirées afterwork sexfriends .

Les plaisirs charnels se conjuguent au féminin ou au masculin. Ce fut la 1ère leçon qu’apprit Hubertine. Ses lèvres finirent par se rapprocher de celles d’une autre femme. Elle pouvait à présent dire quel gout elles avaient

Et son baptème, sur l’idée coquine et avec la complicité de son homme, fut une expérience sensorielle marquante.

Au delà du genre des partenaires de jeu, le monde des plaisirs est pluriel, si tant est que l’on s’y autorise. Hubertine s’en aperçut rapidement, avec ses premières expériences de pluralité masculine, autrement dit.

Vint, à point nommé, la cousine de David, qui fut un coup de cœur pour Hubertine & également son homme.

Ce fut au Cap qu’ils purent vivre de véritables échanges avec d'autres couples, dans lesquelles la tension sexuelle est à son comble, mais aussi apprécier la liberté des corps au travers du mélangisme.

Ce fut également au Cap que Hubertine expérimenta les plaisirs insoupçonnés du mélangisme. En complément de ces émois, elle fit le constat que le était véritablement un monde dans le monde libertin.

Il faut l’avouer, elle ne se révéla pas être une soumise dans l’âme, penchant davantage naturellement vers la domination. Elle se promit de creuser le sujet en temps voulu.

Hubertine marqua une pause dans sa vie libertine, à son déménagement. Ses pratiques libertines allaient devoir, par la suite, être moins « improvisées » et s’intégrer dans une organisation de vie.

En parallèle, le contrat libertin conclu entre Hubertine et son homme fut amené à être complété par des avenants. David s’étant en effet absenté pour mission professionnelle, il souhaita que Hubertine rencontre et coquine en tant que soumise d'un groupe de mélangistes aimant le mélangisme .

Il y eut ensuite, au retour de David, une phase de laisser aller, marquée pour Hubertine par des rencontres en solo et la confirmation des penchants candaulistes de son homme.

Le Cap était devenu leur lieu de villégiature favori, bulle de plaisirs décadents, de liberté sans limite et de convivialité festive, en dehors de leur rôle de parent et en quête de libertinage.

De nouveaux et addictifs plaisirs cérébraux s’offraient à eux.