VII- Une longue journée ensemble
Partie 1
Cela s’était passé une semaine après mon anniversaire, et 2 jours avant l’été. Mon amante voulait tellement me revoir, tellement passer un doux moment avec moi. Malheureusement, toutes nos tentatives s’étaient soldées par un échec. Cette fois-ci, j’avais décidé de lui faire une surprise en arrivant chez elle le matin, afin de passer une journée entière avec elle.
Je suis arrivé devant chez elle, je frappai à sa porte. Elle a été surprise de me voir et m’a fait rentrer vite fait car il y avait sa voisine qui nous regardait. Elle ne s’attendait pas à ma visite, mais été trop contente que je sois là, et pour une journée entière avec elle. Nous n’avions pas trop attendu : nous commencions à nous embrasser dans la cuisine. Nous nous dirigions vers le canapé où nous commencions à nous déshabiller entièrement, puis nous allonger dessus pour que nous fassions l’amour.
Cette fois, j’avais changé de méthode. À cette époque, je lisais « Les Enfants de la Terre », où je découvrais comme par hasard des scènes de sexe plutôt bien détaillées, assez pour me donner matière à réfléchir. J’ai donc voulu tester ce que j’avais voulu afin de me retenir le plus longtemps possible afin de prolonger et d’avoir un maximum de plaisir avec elle. Quand je sentais que ça commençais à monter dangereusement, j’arrêtais mes va-et-vient ou je faisais autre chose, comme mordiller ses oreilles, embrasser ses lèvres, son cou, lécher son ventre ou ses seins… Mais c’est que ça fonctionnait ! Ce n’était pas facile car je perdais également en excitation. J’ai donc tenté de garder un équilibre entre excitation et perte de vitesse en variant mes gestes.
Cela dura environ 10 min, sachant que d’habitude j’éjaculais rapidement. Je voulais m’exciter un peu plus, mais je sentais que cette fois-ci j’étais de moins en moins excité : j’allais perdre mon excitation et ne pas éjaculer ! Tant pis, je ne vais plus me retenir, fallait que je lâche tout ! Cette fois, j’allais à fond dans mes va-et-vient et caresses au niveau de ses seins pour bien m’exciter. J’ai cru que c’était fichu. Mais il m’aura fallu un peu de temps pour retrouver toute mon excitation. Dorénavant, je n’allais plus me retenir et me lâcher. C’était déjà fort, vraiment fort. Elle était en amazone, sur moi. Je cherchai à me lâcher, à évacuer, là. Ça montait, ça montait, ô oui ça montait vite, ça…
« AHHHHH ! AHHHHH ! AHHHHH ! »
L’éjaculation devait forte, trop forte ! Quasi douloureux ! D’habitude, je soufflai comme un bœuf quand j’éjaculai. Cette fois-ci, je me suis mis carrément à hurler. Mon amante souriait.
« Oui ! Là, t’as enfin vraiment fait l’amour ! »
C’était donc ça faire l’amour pour de vrai ? C’était donc comme ça que ressentais les hommes quand ils hurlaient durant la jouissance ?
Malheureusement pour mon amante, elle n’avait pas joui. C’était extrêmement rare qu’elle jouissait, puisqu’elle était une clitoridienne : dans sa vie, elle n’avait joui que trois fois seulement !
Partie 2
Ensuite, nous avions passé notre temps à discuter un peu. Nous ne mangions pas : nous n’avions pas faim. Nous regardions un épisode de « Journal d’un vampire », puis, avions essayé de regarder un DVD gravé que j’avais apporté : « Le château dans le ciel ». Malheureusement, le son était de très mauvaise qualité, ce qui fait qu’au bout de 20 minutes, nous avons tout arrêté.
À la place, nous nous sommes mis à nous reposer sur le canapé. Nous étions enlacés, l’un contre l’autre. Au bout de quelques minutes, elle a commencé à me caresser la joue puis les cheveux. Je faisais de même. Nous nous faisons ainsi des caresses pendant plusieurs minutes avant qu’elle commence à m’embrasser. Elle s’allongea sur moi, me mettant sur le dos, continuant à m’embrasser avant de glisser sa main dans mon pantacourt et me masturber, avant de glisser mon pénis à travers sa culotte. Elle multipliait alors les va-et-vient sur moi, et je tentai de suivre le rythme, faisant sortir ses seins de ses habits et m’agrippant à eux, lui faisant souvent mal. Mais je voyais qu’elle prenait du plaisir : tout en gémissant, elle était carrément en transe.
« Ah ! J’vais jouir ! Ah ! Ah ! Ah ! J’vais jouir ! », me dit-elle, d’une voix de jeune fille, comme doucement possédée. Elle va vraiment jouir pour une fois ?
Nous continuons nos va-et-vient quelques instants jusqu’à ce qu’elle me dise :
« T’as senti ?
- Quoi donc ?
- J’ai joui… Tu ne sens pas que je me suis mouillée ? Tu ne sens pas le liquide qui colle autour de ton sexe ?
- Non ! »
Elle semblait vexée, mais c’était la vérité. Je ne sentais rien. Du moins, pas tout de suite. Car je crois l’avoir senti légèrement quelques temps après, mais je ne pouvais rien affirmer. Mon amante voulait que je jouisse à mon tour. Je cherche alors l’excitation en moi pour éjaculer une deuxième fois. J’ai cherché, cherché, fait un effort d’imagination, malmenait ses seins… Mais la fatigue a fini par gagner, sans que je puisse éjaculer. J’avais déjà les couilles bien sensibles, preuve que je m’étais bien vidé. J’étais convaincu que je n’avais pas eu le temps de recharger, ce qui n’était pas de l’avis de mon amante.
Alors, pour m’exciter, elle me masturbe, lèche mon gland avant d’enfoncer mon pénis dans sa bouche, poussant de grands grognements de plaisir. C’était doux au début. Tellement doux. Et voilà que ça devient fort, très fort, trop fort ! Je secouais mes changes dans tous les sens, gémissant comme un loup. Je résistai tant que je le pouvais, mais mon pénis était trop sensible, je n’en pouvais plus : j’ai fini par lui demander grâce. Elle arrêta et me laissa me redresser sur le canapé. J’avais la tête qui tournait, j’avais des vertiges, tellement que j’ai cru que j’allais m’écrouler par terre : je restai au fond du canapé, en attendant que je retrouve mes esprits.
Partie 3
C’était bientôt l’heure pour elle d’aller chercher son plus jeune fils à l’école. Elle partait donc prendre une douche. Après quelques instants, je décidai d’aller la rejoindre : une bonne douche ne me ferait pas de mal non plus, et j’avais envie de passer un moment intime avec elle sous la douche. Elle était agréablement surprise de me voir arriver. Nous prenions donc la douche ensemble, collés les uns sur les autres, nous lavons mutuellement nos corps, nous souriant l’un et l’autre.
Ensuite nous sommes allés chercher son fils à l’école et me présenta son meilleur ami, dont elle m’avait dis à plusieurs reprises qu’il était amoureux d’elle et voulait lui faire l’amour. Quand il a appris que j’ai passé la journée entière avec elle, il s’était senti blessé. Dès que la sonnerie a retenti, mon amante m’a demandé de partir pour que son fils ne me voie pas. Je suis alors rentré chez moi, emportant avec moi le souvenir de cette délicieuse journée… C’était la dernière fois que nous nous sommes vus en tant qu’amants !
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