De gré ou de force partie 1
Dès que l’alarme sonna, la vendeuse se leva tranquillement et alla l’éteindre. Elle se tourna et regarda les deux filles entièrement à sa disposition. Zoé encagée ne demandant qu’à être prise. Jeanne sur le dos, les jambes levées et écartée par une barre laissant libre accès à son entrejambe. La vendeuse sourit :
“Bon mes Cendrillons, c’est minuit, l’heure de rentrer.”
Jeanne souffla presque de soulagement. Non pas qu’elle n’avait pas aimé ce qu’elle avait vécue, mais c’était fort en émotions et elle était psychologiquement vidée. Elle se laissa rouler sur le côté, sa course étant arrêtée par ses jambes. Elle commença à se libérer les chevilles.
“Mais qu’est-ce que tu fais ! C’est à ta Maîtresse de te libérer !”
Jeanne allait dire quelque chose, mais sa cagoule l’empêchait de dire quoi que ce soit. Elle lâcha sa cheville et attendit comme une sage fille. La vendeuse s’approcha d’elle et la faisant pivoter pour la remettre sur le dos, lui détacha la sangle reliant la barre au collier et lentement une cheville. L’accompagna au sol tout en maintenant l’autre en l’air, et après avoir détaché l’autre elle fit de même. Jeanne restait couchée sur le dos attendant les ordres, même si elle n’avait qu’une envie se lever et ôter cette cagoule. La vendeuse la regardait tout en la dominant de toute sa hauteur.
Elle se pencha et saisissant l’anneau du collier la tira vers elle pour la lever. Lentement, courbant son corps et de la manière la plus sensuelle possible, Jeanne se releva. Elle se trouvait juste devant le visage de Zoé qui avait maintenant son sillon fessier juste devant elle. La vendeuse fit tourner Jeanne qui présenta son vagin à Zoé, la vendeuse ouvrit la cagoule et la lui enleva. Les cheveux de Jeanne partaient un peu dans tous les sens. Sa mâchoire lui faisait un peu mal, elle l’ouvrait et la fermait pour essayer de détendre les muscles.
“Qu’est-ce qu’on dit ?”
“Euh.. Merci Maîtresse ?”
“Bien, tu as bien retenu la leçon.”
“Mais je croyais que le contrat se terminait à minuit ?”
“Oui, mais vous continuerez de m’appeler Maîtresse à partir de maintenant, juste parce que j’en ai envie.”
La phrase n’était pas dit pour rire, c’était un ordre clair et direct. Jeanne et Zoé avaient très bien entendues. Pour Jeanne, cela lui faisait drôle de devoir appeler quelqu’un Maîtresse en dehors de l’école et d’un séance, mais elle se força :
“D’accord Maîtresse.” Sans vraiment savoir pourquoi, Jeanne se mit en position d’attente tout en répondant.
“Bien aide-moi à libérer ton amie.”
À ces mots Zoé s’excita dans la cage. Non pas qu’elle voulait en sortir le plus rapidement, mais comme si elle contestait la décision prise. La vendeuse s’arrêta et la regarda, Zoé la regarda suppliant, mais d’un air déterminé.
“Je ne comprends pas, tu veux quoi ?”
“Mhhh mhh mhmhhhmhmhmh.”
La vendeuse sourit devant cette tentative d’explication.
“J’ai encore moins bien compris. Attends, je t’enlève la cagoule.”
à suivre…
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