Céline, toujours cambrée et à quatre pattes, commence à se relever.

– “Non, reste comme ça. La robe relevée, ta chatte est appétissante. Un homme a tiré ton nom, il va

Céline, toujours cambrée et à quatre pattes, commence à se relever.

– “Non, reste comme ça. La robe relevée, ta chatte est appétissante. Un homme a tiré ton nom, il va jouer avec ta croupe”

Elle me fait me lever, enlever mon pantalon, et me remet à genoux juste derrière elle.

– “Pour la suite de la soirée, je vous préviens, il va faire chaud. Deux personnes vont subir une sodomie ce soir, et Céline est la première.”

Je la vois serrer les fesses et les cuisses, se crisper. et refuser… avant de se faire couper la parole.

– “Il y deux façons d’enculer quelqu’un. La douce, en prenant son temps sera notre première méthode. Céline, si tu as trop mal, tu le dis, on arrête. Mais attention : si tu simules la douleur, je te ferais mal moi même.”

Je comprends que Céline a peur après ce que Cyril lui a fait.

– “D’abord, il faut caresser les fesses.”

Elle me fait signe, je suis ses consignes à la lettre. En même temps, je regarde Sophie, et sans parler, je remue les lèvres “Si elle ne veut pas, je ne le fais pas”. Elle me fait un geste du pouce.

– “Petit à petit, il faut que les doigts s’approchent de l’anus, l’effleurent, l’excitent.”

Je poursuis le malaxage, comme elle dit, et je sens Céline se détendre sous mes mains. Sur le canapé, Alex et Chloé sont blotties l’une contre l’autre, et profitent du spectacle, se regardant d’un sourire complice de temps à autre

Sophie s’approche, et fait couler du lubrifiant d’un flacon qu’elle sort de je ne sais où, dans la raie des fesses. Mon index glisse dans la raie, l’étale doucement

– “Ensuite, il faut se concentrer sur l’anus. le détendre d’un doigt. qu’il tourne doucement, appuie un peu, et continuer jusqu’à ce que le cul s’ouvre et l’aspire”

Je frissonne d’impatience. Ma main pétrit sa fesse, mon index entre doucement, je ne force pas: j’attends. Céline gémit, se cambre un peu plus. Puis elle vient à la rencontre de mon doigt alors je pousse doucement, et je sens une résistance.

– “Une fois le doigt à l’intérieur, il faut passer chaque millimètre, doucement, en massant l’intérieur.”

Sans rien dire, elle prend mon autre main, et la guide sur le pubis, Je pose un doigt sur sa chatte et la découvre complètement trempée. J’approche mon doigt de son clitoris, que je manipule doucement, en tournant simplement autour.

La sentant détendue, je commence des vas et viens tout doucement avec mon doigt resté dans son anus. Elle gémit. Sophie me regarde en souriant

– “C’est bien continue, Céline aime ça on dirait. Habitue-la au geste, pendant que je te mets une capote”

Elle joint le geste à la parole. Je bande comme un bœuf. Sur le canapé, les filles ont chacune la main sous la robe de l’autre, et gémissent doucement.

Sophie me guide, me fait enlever mon doigt, ajoute du lubrifiant, et pose mon gland contre le trou tout petit de Céline. Il palpite, se ferme. Sophie me tient contre, mais ne force pas. Quand il s’ouvre doucement, elle me fait avancer le plus doucement possible. J’ai l’impression que cela dure des heures, mais mon gland finit par entrer. Céline feule.

Sophie lui demande si elle a mal ou si elle veut plus. Entre ses gémissements de douleur, elle répond :

– “Je sais pas si ça rentrera. Elle est grosse. doucement”

Sophie passe derrière moi, me pousse doucement les fesses. Son souffle dans mon cou, sa poitrine écrasée dans mon dos rajoutent à mon excitation. Céline gémit fort, puis c’est comme une aspiration par son cul, et Sophie me pousse vers l’avant, jusqu’à ce que la moitié de ma verge disparaisse à l’intérieur.

– “ôoooooooooooooooooooooo”

Vas y doucement au début, c’est la première fois qu’elle apprécie une sodomie. J’ose à peine bouger. C’est tellement serré, tellement bon. Pour ne pas jouir trop vite, je regarde ailleurs. Sur le canapé, Alex et Chloé s’embrassent en se caressant sous leur robes. Sophie va les rejoindre est détachent les boutons pour libérer leurs seins en leur parlant à l’oreille sans que personne entende. Pendant qu’elles se donnent du plaisir, je bouge doucement, reculant, et avançant dans le cul étroit de Céline, en essayant de ne pas rentrer plus qu’elle ne peut le supporter.

Elle se détend petit à petit, ça m’excite. Elle se penche de plus en plus, la tête posée sur ses bras posés au sol, la croupe levée devant moi. J’accélère un peu, et je finis par avancer plus profondément dans un coup de reins un peu plus sec que les précédents. Elle se retient de crier :

– “Mouiiii.”

Je ne sais pas si c’est la douleur ou le plaisir qui parle. Je recommence mon coup de reins.

– “Oui, continue, juste comme ça. Pas plus fort”

Elle gémit sans s’arrêter, et lorsqu’elle jouit quelques coups de bassins plus tard, elle tremble tellement que je me fais sortir avant d’avoir joui. Je suis frustré, mais Sophie s’approche, m’enlève la capote, et me chuchote “je suis fière de toi”.

Ensuite, elle s’occupe de Céline, la fait s’asseoir sur le canapé, puis lui retire son bandeau.

Céline tourne la tête, me voit, et sourit en sachant que c’est moi qui lui ai fait ça. Les trois femmes sur le canapé sourient, repues pour ce soir, attendant la suite.