Après une , je me suis aventurée dans le sud de la France. Au programme de ce court séjour : profiter du ciel bleu azur baigné de soleil, célébrer le rose amour et rougir de plaisir. Une fin d’été haute en couleurs.
En territoire inconnu
Par le passé, j’avais largement goûté au , qui venait pimenter le rythme métro/boulot/dodo. C’était toujours dans les mêmes villes, que je finissais par connaître, par la force des choses. Et étant dans un cadre professionnel, je n’étais fondamentalement pas seule et isolée.
C’était à titre personnel que je me déplaçais cette fois-ci, dans une région entièrement à découvrir. J’y descendais seule, mon homme ne pouvant prendre des congés. L’inconnu ne me fait pas peur mais prudente je devais rester malgré tout.
Pour faire durer l’esprit léger et brûlant du Cap et retrouver aussi le goût des voyages coquins, mon homme avait pris les choses en main et avait organisé pour moi une rencontre à l’aveugle : 2 jeunes hommes que je découvrirai le jour J, sélectionnés par ses soins, d’ors et déjà conquis (d’après lui) et précisément briefés.
Je n’avais pas d’inquiétude sur le physique et le sérieux des libertins, mon homme me connaissant bien et sachant cerner les personnes avec lesquelles il discute. L’incertitude liée à la rencontre, qui plus est à l’aveugle, me taraudait davantage.
Délicat de préjuger de l’intensité de l’alchimie cérébrale qui peut se créer dans des instants de plaisir éphémères (Au delà de l’aspect physique, qui est un élément important en soi, chaque protagoniste se projette à sa façon), tout comme la compatibilité charnelle. Petite dose de pression quand même.
D’autre part, ma venue sur la Côte d’Azur était liée à un événement particulier – le mariage d’un couple d’amis – et une mission particulière : officiante chargée d’animer la cérémonie laïque célébrant leur union. Niveau de stress important pour cet exercice complétement nouveau pour moi.
#ohlalalalalala
Noces de faïence
Le calendrier voulut que mon anniversaire de mariage (9 ans donc noces de faïence) tombe le jour de ma rencontre à l’aveugle. Petit extrait des échanges texto avec mon mari / mon homme.
A quel cadeau pensait-il ? Bien évidemment aux vidéos et photos de mes ébats, lui qui a développé au fil des années un plaisir candauliste certain. Il avait d’ailleurs largement briefé les 2 coquins dans ce sens…
Un peu dans mes petits souliers, j’accueillis les deux jeunes hommes, munis eux de leur feuille de route détaillée. Sans surprise, ils étaient tout à fait à mon goût et je percevais également que je leur plaisais en retour.
Au cours de notre discussion autour d’un verre de rosé bien frais, je sentais que le moment où tout doit basculer était venu. La question étant toujours « comment lancer les hostilités ? »
Comme j’avais déjà pu l’expérimenter par le passé, je demandais aux coquins de tomber la chemise. Ils ne se firent pas prier, tombèrent même le pantalon et vinrent immédiatement au contact.
Et alors là, moi qui aime être drivée dans des ébats toniques et rythmés, j’ai été servie ! Hi ha !! Je pus profiter intensément et sans presque aucun temps mort de leurs queues dures et tendues, leurs mots crus et leurs mains à la fois baladeuses et promptes à me donner la fessée.
C’est tout naturellement que je réclamais encore plus de rythme, criant mon plaisir et verbalisant mon (grand) amour pour le sexe en général et mon plaisir avec leurs sexes en particulier. Tous ces mots, cris et gloussements ont été enregistrés sur la trentaine de vidéos que les coquins ont pu capturer, à tour de rôle, avec mon téléphone, dont voici quelques captures d’écran.
Ils étaient en forme et je l’étais aussi.
Flo.06 (de son pseudo wyylde) m’a gratifiée de 3 éjaculations faciales, après m’avoir dignement honorée (je savais que le sport était utile, j’en avais encore la preuve à ce moment là !). Et justfun0611 (pseudo wyylde également) a su se montrer ferme sans jamais faillir et savait user de douceur pour que sa queue glisse toute seule.
Ils ont, à eux deux, réussi à épuiser mon désir (un exploit, il faut le souligner). J’étais repue et complètement relâchée et détendue quand ils me quittèrent 2h après leur arrivée.
Surprise, sur-prise
Le Jour J arriva ; Le mariage de .
Mon homme m’avait donné sa bénédiction si une occasion se présentait au cours de ce évènement, en mode « coup d’un soir improvisé avec un inconnu ». Il voulait que je m’adonne aux plaisirs de la chair sans contrainte et sans filtre, et vivre de son côté la possible surprise de recevoir des preuves imagées et/ou animées d’une rencontre fortuite.
J’en avais pris note, ça n’était pas la 1ère fois qu’il m’incitait à tenter cette expérience. Mais ça n’était pas dans mon approche habituelle (nos coquineries étant généralement des soirées privées auxquelles nous participions ensemble ou des rencontres programmées et connues de nous deux) et je n’étais pas venue pour ça.
J’étais extrêmement fière d’avoir été choisie pour être la cheffe d’orchestre de la cérémonie d’engagement de mes amis fraichement mariés. Cérémonie, qui avait à leurs yeux, je pense, encore plus de valeur que la cérémonie traditionnelle à la mairie. Pour l’animer, je pouvais m’appuyer sur le déroulé soigneusement élaboré par une wedding planner et officiante de métier et d’expérience. Mais aussi sur la bienveillance des invités, que j’embarquais avec moi pour 1h de récit de l’histoire & d’anecdotes concernant les mariés, de discours & de témoignages d’affection de leurs proches et de rituels symbolisant leur union & leur engagement.
Mission accomplie, au vu de tous ces visages – mariés, famille et amis – rayonnants de joie à l’issue de la cérémonie !! Ce fut soulagée et toute émue que je fis tomber la veste blanche qui, au dessus de ma robe longue rouge, apportait la touche solennelle à ma tenue, et que je pus profiter du reste des festivités.
Et pour m’y aider, @MamzelleNubiana me présenta Jo, beau et élégant black. Je lisais dans les yeux du jeune homme que je ne le laissais pas indifférent et me souvins alors que @MamzelleNubiana avait rapidement évoqué, quelques mois auparavant, de me présenter quelqu’un, en disant qu’il serait bien de nous mettre à la même table. But but, it’s a trap, isn’t it ?!
Ouverture possible ? Très certainement. Etais-je décidée à en profiter ? Pas encore, même si je portais volontairement à l’attention de Jo le fait que je n’avais pas de moyen de locomotion pour rentrer à mon hôtel, à l’issue de la soirée. Il proposa aussitôt de me ramener. Je savais alors que j’avais le temps de le jauger et de me décider.
Un délicieux repas, plusieurs coupes de champagne et 3/4 danses endiablées avec Jo plus tard (danses au cours desquelles je percevais la douceur et la précision de ces gestes), la salle de réception se vida progressivement et l’heure du départ sonna.
Aux côtés de Jo dans sa voiture, je rebondissais sur le fait qu’il m’avait dit habiter Montpellier, alors que je l’avais entendu évoquer le Cap à une autre personne. Coquin. Je me jetais alors à l’eau et lui dis que j’allais régulièrement au Cap d’Agde avec mon mari et que nous étions libertins. Moi : « Sache que je te trouve fort charmant ». Lui : « Tu es magnifique, je t’ai repérée tout de suite parmi les invités ».
Deux options s’offraient à moi à ce moment là (et la réflexion devait être rapide, le trajet n’étant pas bien long) : le laisser me déposer et prendre ses coordonnées pour une partie de jambes en l’air sur Paris (il y venait régulièrement en déplacement pro) ou l’inviter de suite dans ma chambre. Je ne vous cache pas que l’option 1 était fortement attrayante (la fatigue, la pression qui était retombée et la prestation des 2 coquins de la veille y étaient certainement pour quelque chose).
Seulement voilà, mieux vaut avoir des remords que des regrets. Et l’occasion était trop belle pour la laisser passer.
Je proposais donc un deal à Jo, le sentant prêt et capable de prendre tout son temps pour la bonne cause : coquiner oui, mais pas tout le reste de la nuit. Il était déjà plus de 03h du matin et je ne perdais pas de vue la perspective de dormir (au moins un peu) avant de reprendre mon avion pour retrouver homme et enfant à Paris.
Mon intuition était juste. Jo était un amant qui pouvait lécher, caresser, bander, donner des petits coups de reins précis ou plus saccadés, sans se lasser ni discontinuer. A l’aise quelle que soit la position il était : missionnaire, doggy style, allongé sur le dos, en ciseau sur le côté… Ejaculer ne l’arrêtait pas non plus dans son élan, il repartit aussitôt après avoir joui une première fois sans prévenir, happé par l’excitation. Je l’inspirais apparemment.
Le corps traversé par des soubresaults de plaisir et envahi par l’endorphine, je prenais conscience de son potentiel sexuel et de ma potentielle nuit blanche. Je fus contrainte d’insister sur la nécessité que JE DORME UN PEU QUAND MEME.
Il avait un atout non négligeable (en plus de tous les points évoqués précédemment) : une belle queue, droite et bien proportionnée (ressemblant à celle de mon homme, en version black en fait). Et il m’était difficile de rester insensible à ce type d’argument. Je prenais sans demander sa queue en bouche, me délectait de la sucer et de glisser ma langue autour de son gland, provoquant chez lui des râles de plaisir.
Je me mettais ensuite debout devant lui, m’appuyant sur le lit et lui tendant ma croupe. Cette position, que j’affectionne, donnait une profondeur à la pénétration en évitant des frottements pouvant m’irriter. Au moment où mes jambes tremblaient littéralement de plaisir, Jo me signifia qu’il sentait la pression monter et, après avoir retiré son préservatif, éjacula une seconde fois, sur mon visage. Une douche et au dodo maintenant…
De ce moment coquin, je ne pus prendre que quelques photos et deux vidéos, dont celle de l’explosion finale, malheureusement trop courte, mal cadrée et sombre. Mais les recevoir au réveil, au petit matin, produisit quand même son petit effet sur mon homme, qui ne s’y attendait pas tout. De mon côté, au même moment, j’avais confirmation que Jo était libertin (pseudo wyylde diankalar34).
La boucle était bouclée et mon séjour Provençal marquera résolument les esprits.
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